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200 1 _aDiscours
_fGrégoire de Nazianze
_gintroduction, texte critique, traduction et notes par Jean Bernardi
210 _aParis
_cCerf
_d1978-2008
215 _a9 t.
_d20 cm.
225 2 _aSources Chrétiennes
_v247, 250, 270, 284, 309, 318, 358, 384, 405
_x0750-1978
320 _aBibliogr. p. [69]-70. Notes bibliogr. Index.
330 _aLes Discours de Grégoire le Théologien, modèle d’éloquence pour les Byzantins, sont transmis à travers plusieurs collections, dont une collection liturgique et des collections dites « complètes ». Le corpus, tel qu’édité aux tomes 35-36 de la Patrologie grecque, comprend 45 pièces. L’édition des Discours 27-31 aux Sources Chrétiennes est fondée sur un choix de 10 manuscrits, du ixe au xie s., sans compter la traduction latine que Rufin a faite du n°27. Ces cinq discours, appelés communément Discours théologiques, en ce qu’ils traitent de Dieu dans son unité et sa trinité, ont mérité à leur auteur le surnom de « Théologien » ; prononcés à Constantinople, à intervalles très rapprochés, sont groupés dans la tradition manuscrite et semblent aussi former un tout pour Grégoire. Très lus et commentés, ils constituent un apport essentiel dans l’élaboration et l’affirmation de la théologie trinitaire. L’ensemble se présente en 4 parties précédées d’un préliminaire. Le Discours 27 est intitulé « Discussion préliminaire contre les eunomiens » : c’est à la fois une attaque virulente et un discours de la méthode théologique. Le Discours 28, intitulé « Sur la théologie », est une entrée en matière plus directe, bien que sur un mode « apophatique », tentant de dire ce qu’est la nature divine et la façon dont la création elle-même, terrestre ou céleste, dépasse les limites humaines. Le Discours 29, intitulé « Du Fils, premier discours », commence par défendre la « monarchie » divine en trois personnes, puis critique la conception eunomienne de l’inengendré en défendant l’égalité du Père et du Fils – pour cette raison le Discours porte aussi sur le Père, qui n’est évidemment pas oublié dans ces cinq textes – et en faisant le tri dans les Écritures entre les traits divins ou humains du Fils. Le Discours 30, intitulé « Du Fils, second discours », réfute l’interprétation eunomienne de 10 séries (numérotées par Grégoire) de passages bibliques sur le Fils : 1° Sagesse « créée » (Pr 8,22), 2° au règne limité (1 Co 15,25 ; Ac 3,21 et Ps 109,1), « soumis » au Père (1 Co 15,28), « abandonné » par lui (Ps 21,1), ayant appris « l’obéissance » (He 57-8), 3° « plus grand » (Jn 14,17), 4° ayant dit « mon Dieu et votre Dieu » (Jn 20,17), 5° recevant la vie, etc. (Jn 5,26, etc.), 6° ne pouvant « rien faire de lui-même » (Jn 5,19), 7° descendu du ciel pour faire la volonté du Père et non la sienne (Jn 6,38), 8° « envoyé » par Dieu (Jn 17,3), en dehors de qui « personne n’est bon » (Lc 18,19), 9° « toujours vivant pour intercéder en notre faveur » (He 7,25), 10° ignorant (Mc 13,32). Ce dossier biblique quitte ensuite le mode antirrhétique pour aborder le sens des appellations de Dieu, non sans rappeler que « la divinité ne peut être désignée par aucun nom » : « Celui qui est », « Dieu », « Seigneur », etc., puis celles du Fils : « Fils », « unique », « Verbe », « Sagesse », « Puissance », « Vérité », « Image », « Lumière », et autres noms plus humains. Le Discours 31, intitulé « Du Saint-Esprit », formule et justifie ce qui à l’époque constitue la plus explicite affirmation de la divinité de l’Esprit et de sa consubstantialité avec le Père et le Fils. Ce faisant, Grégoire réfute son statut d’intermédiaire entre l’inengendré et l’engendré et défend la foi en la Trinité comme n’étant pas trithéiste. Il argumente en faveur de la divinité de l’Esprit à la fois par la raison, par les Écritures et par les « dogmes non écrits », en développant notamment une théorie du langage qui souligne la différence entre les mots et les choses et une évaluation du symbolisme des images.
410 1 _tSources Chrétiennes
_v247, 250, 270, 284, 309, 318, 358, 384, 405
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600 0 _aΓρηγόριος ο Θεολόγος
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