Oraisons funèbres
/ Bossuet
Language: Γαλλικά.Country: Γαλλία.Publication: Paris : E. Flammarion, [1926?]Description: 303 p. ; 18 cmDewey: 252.1 (Edition 23rd)Old Classification: Ν4 (Ομιλίες)Abstract: Bossuet a composé sa première oraison funèbre à vingt-huit ans (1655). Il y en a eu dix, l'auteur a publié les six dernières, consacrées à de grands personnages, en 1689, à l'époque du plein épanouissement de sa personnalité. Ce genre a connu un immense développement (et n'est pas complètement mort). Il a ses règles: l'orchestration du deuil, expression de la douleur et déploration, en un temps où on aimait les émotions collectives. Puis l'éloge du défunt, cher à l'orateur comme à son public et la volonté d'instruire les fidèles dans l'art de bien mourir; enfin, des questions d'actualité, parfois brûlantes. Si Bossuet triomphe dans ce genre, ce n'est pas seulement par la magie du style, mais aussi parce qu'il a affaire à des personnages de premier plan, qu'il a bien connus; sa douleur est personnelle; il ne cache pas son émotion. La mort, selon Bossuet, démasque tous les vices: ce qui compte, c'est l'immortalité.Subject - Topical Name: ομιλίες | επικήδειοι λόγοι | ρωμαιοκαθολικισμός | γαλλική λογοτεχνία Item type: Rare
Current library | Collection | Call number | Copy number | Status | Notes | |
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Paraklitos Library Σπάνια & Παλαίτυπα | Ομιλητική | ΣΠ252.1 BosJ of [1926?] (Browse shelf(Opens below)) | 1 | Not for loan | φέρει σφραγίδα: Εκκλησιαστική Ριζάρειος Σχολή 1844 με χειρόγραφη σημείωση "Καιν. 1908". |
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Note Relating to the Copy in Hand: Φέρει σφραγίδα: Εκκλησιαστική Ριζάρειος Σχολή 1844 με χειρόγραφη σημείωση "Καιν. 1908".
Summary or Abstract: Bossuet a composé sa première oraison funèbre à vingt-huit ans (1655). Il y en a eu dix, l'auteur a publié les six dernières, consacrées à de grands personnages, en 1689, à l'époque du plein épanouissement de sa personnalité. Ce genre a connu un immense développement (et n'est pas complètement mort). Il a ses règles: l'orchestration du deuil, expression de la douleur et déploration, en un temps où on aimait les émotions collectives. Puis l'éloge du défunt, cher à l'orateur comme à son public et la volonté d'instruire les fidèles dans l'art de bien mourir; enfin, des questions d'actualité, parfois brûlantes. Si Bossuet triomphe dans ce genre, ce n'est pas seulement par la magie du style, mais aussi parce qu'il a affaire à des personnages de premier plan, qu'il a bien connus; sa douleur est personnelle; il ne cache pas son émotion. La mort, selon Bossuet, démasque tous les vices: ce qui compte, c'est l'immortalité.
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